ACTUALITES

 

 

 

En attente de mise à jour : janvier 2008

 

 

 

Ø                   Rage

 

 

 

Campagne de vaccination des renards contre la rage est lancée dans l'est de la France
Communiqué de presse AFSSA, Institut Pasteur

 

 

 

Ø                   Maladie de Lyme

 

 

 

Recherche d'un vaccin contre la maladie de Lyme

            La Commission européenne va allouer 1,4 million d'euros sur deux ans à un nouveau projet du Sixième programme-cadre (6e PC) consacré à une maladie grave, mais encore souvent insuffisamment diagnostiquée, transmise par une tique, la borréliose de Lyme.

 

La maladie est la plus commune des infections causées par la bactérie Borrelia burgdorferi. Sévissant en Europe et en Amérique du Nord, la maladie de Lime se manifeste tout d'abord, chez les personnes atteintes, par des anomalies neurologiques et des troubles cardiaques, puis, plus tard, par de l'arthrite. Actuellement, la prévention consiste principalement à éviter les piqûres de tiques et il n'existe pas de vaccin homologué contre la maladie, ni dans l'UE, ni aux Etats-Unis. Le projet BOVAC s'attaque donc à un besoin important du secteur mondial des soins de santé.

 

Le projet a pour principal objectif l'identification de candidats vaccins qui pourraient être utilisés pour développer un vaccin prophylactique contre la borréliose de Lyme. Les partenaires du projet chercheront également à identifier de nouveaux marqueurs de diagnostic permettant de déceler la maladie de manière précoce et fiable et ainsi de traiter au mieux les patients. Le projet devrait aussi aboutir au développement d'un logiciel pour l'analyse d'informations sur la séquence génomique.

 

Pour en savoir plus : Institut Pasteur, Institut de Veille Sanitaire

 

 

 

 

 

 

Ø                   Céréales

 

 

 

Maîtriser le risque fusariose et la qualité sanitaire

            C’est autour de la floraison que les fusarioses sont susceptibles de se développer et de provoquer des dégâts. Selon le degré d’attaque, les pertes de rendement peuvent aller de quelques quintaux à plus de 20 q/ha. À cela, il faut ajouter un risque de dépréciation de la qualité du grain (critères physiques et sanitaires).

-         L'humidité à la floraison : le développement des fusarioses est très dépendant des conditions climatiques à la floraison

-         Le semis direct : maintient les résidus en surface est la pratique qui présente le plus de risque

-         La qualité sanitaire : un projet réglementaire européen sur la qualité sanitaire a été voté au début du mois d’avril et entrera en application le 1er juillet 2006.

 

 

Pour en savoir plus : Paysan Breton